Briser des cycles, les laisser se reconstruire par mégarde ou de son plein gré. À chaque fois, je me promets que c’est la dernière fois que je parle de ça. Alors, promis: ce coup-ci, c’est la dernière fois.

Je vais bientôt avoir un autre espace pour en parler, mais il me semble important de revenir sur l’un des combats que je n’arrive pas encore à gagner: la nostalgie.

Je n’ai que trop souvent ressenti ce feeling. C’est difficile à expliquer, mais le poser à l’écrit dans mon blog va m’aider à mieux faire passer le message. Je pense qu’il était grand temps pour moi de briser la boucle.

C’est la tête chargée d’idées que j’ai décidé de contacter Erwan, avec qui j’ai étudié pendant mes années à l’université, afin qu’il m’accompagne dans mon rebrand. Ce dernier faisant – entre bien d’autres – de la photo, j’avais envie d’une imagerie soignée et cohérente.

Je ne sais pas créer de site web. Voilà la réflexion que je me fais régulièrement; et aussi curieuse soit-elle, je pense qu’on peut vite tomber dans ces questionnements tant le développeur croule sous les good practices, les audits et les consensus.

Nouveaux CMS, nouveaux process, nouvelles librairies; c’est facile de se sentir “en retard” dans les métiers du développement. Rien de plus gratifiant que de sentir qu’on est dans le bon courant… mais il est toujours bon de s’assurer d’y trouver son compte.

Il y a quelques semaines, on fêtait l’anniversaire de Trench – le quatrième album studio de twenty one pilots. Je profite donc de mon espace journal pour rédiger un mot ou deux sur l’une des œuvres qui m’a le plus inspiré et qui a définitivement changé une partie de moi.

Des jeux-vidéo qui m’ont marqué, il y en a eu quelques-uns. Mais de là à me décrocher une larme et à me bouleverser des années après les avoir terminés, je n’en connais pour l’instant que deux. Alors que le second aura sûrement droit à sa note dédiée, je vous écris ici à propos de Outer Wilds.

Je les appelle des “crises de plein air”, ces moments où je ressens une furieuse envie de partir le temps de quelques heures. Une bouteille d’eau dans le sac à dos et les écouteurs qui secouent de droite à gauche autour de mon cou.